Quelques ingrédients dosés pour donner davantage de profondeur et de suggestion au dessin. La couleur, pour ne pas toucher le graphite, est étalée avec des coups de pinceau d’aquarelle numérique directement à l’ordinateur puis, avec l’ajout des noms, les montagnes acquièrent leur identité.
L’impression finale rappelle une photo de groupe d’«amis», certains connus et d’autres que je ne connaîtrai certainement jamais mais que je pourrai escalader, sinon avec le piolet, du moins avec la pointe de mon HB.
Ce sont mes «Montagnes à la pointe de crayon».